Parce que dans l’eau stagnante, le feu s’éteint.
Parce que Mars — planète du désir, de l’action, du courage — a besoin de traverser ses eaux intérieures pour renaître.
Et parce que c’est souvent dans nos crises que l’âme redemande le gouvernail.
Je vois l’astrologie comme une carte du vivant.
Une manière de lire les courants de sens, de reconnaître ce qui émerge, ce qui se termine, et ce qui cherche à naître.
Ce n’est pas une croyance ni un destin tracé : c’est un dialogue entre le ciel et la conscience.
Un art d’interpréter les cycles pour reprendre la main sur sa propre trajectoire.
Après vingt-cinq années passées à l'étranger dans le marketing et la communication, j’ai choisi de me tourner vers l’essentiel :
comprendre ce qui relie nos histoires intérieures aux mouvements du monde et des astres.
Formé en astrologie évolutionnaire, yoga, médecine énergétique et pratiques de présence, je propose aujourd’hui un accompagnement qui unit intelligence symbolique, lucidité et humanité.
Aider chacun à retrouver la cohérence entre ce qu’il vit et ce qu’il est.
Offrir des clés de lecture pour traverser les transitions, clarifier les choix, apaiser les doutes.
Créer un espace où l’on peut se reconnaître, sans jugement, dans la beauté du chemin.
Je propose des consultations individuelles, des bilans professionnels et des ateliers mêlant astrologie et yoga.
Chaque rencontre est une exploration, un pas vers plus de clarté et de confiance.
Il y a des hommes qui tombent, et qui restent là.
Et puis il y a ceux qui chutent… et qui traversent.
Moi, j’ai traversé.
J’ai aimé à m’en perdre, j’ai quitté des sommets pour des sentiers.
J’ai erré de pays en silences, de ruptures en renaissances, de chaos en clartés.
J’ai perdu des fortunes et des illusions, des repères et des certitudes.
Et à un moment, j’ai cru que je ne remonterais plus.
Mais au fond de la nuit, il y avait une source chaude.
Une eau souterraine,
une présence ancienne,
un souffle qui ne demandait qu’à revenir.
Ce sont les eaux de Mars.
Les dernières pluies avant le feu.
Le passage de Perséphone, qui remonte enfin de sa nuit noire,
délestée, plus vivante que jamais,
prête à faire refleurir ce qui avait fané.
Et si tu lis ceci,
c’est que toi aussi, tu sens que quelque chose en toi doit mourir pour que le reste vive.
Tu n’es pas cassé.
Tu es en initiation.
Je ne suis pas là pour te sauver.
Je suis là pour marcher avec toi, au bord du feu,
au bord de l’eau,
jusqu’à ce que tu retrouves ta voix, ton désir, ton axe.
"Les eaux de Mars", c’est un passage.
Un seuil entre deux versions de toi.
Un espace pour regarder le chaos en face,
le transmuter,
et revenir brûlant de ta propre vérité.